Dans un contexte de mondialisation accrue, où nombre d’entreprises ne peuvent prospérer qu’en étendant le champ de leurs activités à l’international, la maîtrise de l’anglais est devenue indispensable. Ainsi, un professionnel ne saurait entreprendre un voyage d’affaires sans bien connaître cette langue.
Voyage d’affaires : pourquoi et comment maîtriser l’anglais ?
Pourquoi maîtriser l'anglais est indispensable lors de vos voyages d'affaires ?
Aujourd'hui, l'anglais est un peu le latin du Moyen-Âge. C'est devenu la langue universelle, notamment dans le monde des affaires. Dans les séminaires et autres salons, les communications se font principalement en anglais. Et ce n'est pas pour rien qu'il est devenu la langue officielle d'organisations internationales prestigieuses, comme l'ONU, l'Organisation internationale du travail (OIT) ou l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
Dès lors qu'une entreprise veut développer ses activités hors des frontières nationales, elle doit recruter des collaborateurs ayant une bonne connaissance de l'anglais. Lors de leurs déplacements professionnels, en effet, ils ne pourront se passer de cet outil linguistique pour communiquer avec leurs clients.
Si leur interlocuteur ne parle pas l'anglais, il est peu probable qu'ils fassent l'effort de s'adresser à lui dans sa langue. Dans le monde des affaires, l'anglais est un peu le sésame qui ouvre toutes les portes.
Ainsi, un entrepreneur qui entreprendrait un voyage d'affaires sans une bonne maîtrise de l'anglais aurait beaucoup moins de chances de négocier un contrat intéressant ou de décrocher un marché porteur. Un professionnel voulant élargir son réseau à l'étranger et gagner de nouveaux marchés ne peut donc se passer de collaborateurs anglophones.
Comment apprendre l'anglais rapidement ?
L'objectif est donc clair : on ne saurait travailler à l'international pour une entreprise, et entreprendre des voyages d'affaires pour son compte, sans une bonne maîtrise de l'anglais.
Mais comment s'y prendre pour l'acquérir ? La formation d'anglais en entreprise représente sans conteste le moyen le plus efficace. Certains centres de formation sont spécialisés dans cet apprentissage de l'anglais.
Forts d'une longue expérience, ils font porter plus précisément leurs efforts sur la maîtrise de l'anglais des affaires, dont les spécificités seront très utiles aux professionnels en voyage d'affaires.
Cette formation linguistique en entreprise est souvent généraliste. En effet, elle ne se borne pas à l'apprentissage de l'anglais, même si, aujourd'hui, cette langue est parlée par le plus grand nombre de locuteurs dans le monde.
Cette formation s'adresse donc avant tout aux salariés et à ceux qui les recrutent. Elle peut aussi bien se faire sur place, dans des locaux adaptés, qu'à distance. Dispensés par des enseignants qualifiés, qui utilisent des supports pédagogiques appropriés, cette formation sait toujours s'adapter au niveau des salariés concernés.
Elle peut être utilement complétée par l'imprégnation linguistique que les salariés sont invités à pratiquer. Ils peuvent ainsi tirer profit de la lecture d'articles de journaux ou de livres en anglais, surtout s'ils sont édités dans une collection présentant, côte à côte, le texte anglais et le texte français.
Le visionnage de films ou de séries anglais ou la conversation avec des amis anglophones permettent également de se perfectionner dans l'apprentissage de la langue.
Parler anglais lors d'un voyage d'affaires : quelques bases essentielles
Pour assurer le succès de ses voyages d'affaires, un entrepreneur devra non seulement maîtriser l'anglais en général, mais porter également son attention sur une version spécifique de cette langue : l'anglais des affaires.
En anglais, comme dans les autres idiomes, les milieux professionnels ont, comme d'autres, leur propre langage. Celui-ci possède donc des tournures et un vocabulaire qui leur sont propres.
Un entrepreneur en déplacement professionnel à Londres, Shangaï ou New-York se doit donc de les connaître. Il y va de sa capacité à se faire comprendre de ses interlocuteurs. Le succès du voyage d'affaires dépend donc en partie de la bonne maîtrise de cet anglais commercial.
Si certaines tournures sont assez proches du français, comme "négocier un contrat", qui peut se traduire par "to negociate a contract", d'autres en sont plus éloignées. Ainsi, un homme d'affaires soucieux de "conclure une affaire", exprimera son souhait de "close a deal".
Il faut donc se méfier, comme dans toutes les langues, des faux amis, et repérer ce que les linguistes appellent des "idiotismes", autrement dit des tournures et des constructions propres à une langue. C'est à ce prix qu'un entrepreneur pourra vraiment communiquer avec ses clients anglais.